Le communication parlée nouveau

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le monument ésotérique d’Amon s’élevait sous le ciel encore tragique de Thèbes, sa formes massive découpée par les premières lueurs de l’aube. Chaque matin, le prêtre-astronome recevait une gamme de tablettes d’argile déposées dans l’enceinte ultime. Gravées d'ornements net, elles contenaient des prédictions éclatants d’une assiduité troublante. La voyance par SMS fiable, si elle avait vécu en ces époques anciens, aurait compté un outil inestimable pour ces hommes chargés de lire le devenir dans les astres. Il disposa les tablettes sur sa table d’étude, effleurant du extrémité des tout les inscriptions cunéiformes. Chaque estampe détaillait un alignement d’étoiles, une conjonction planétaire, un divination pour le pharaon. Jusqu’alors, toutes les présages s’étaient réalisées avec une serieux presque de voyantes. Les crues du Nil, les progressions des caravanes, les éclipses… tout avait existé indiqué sans erreur. Mais des attributs clochait. Les idéogrammes tracés sur l’argile n’étaient pas qui caractérisent des scribes du temple. Certaines silhouette lui étaient inconnues, tels que si elles appartenaient à une langue qui n’existait pas encore. La minutie des messagers dépassait tout ce qu’il avait jamais perçu. Les prévisions semblaient pas seulement affecter le ciel, mais anticiper des événements d’une de mode que même l’astrologie ne pouvait présenter. Une voyance par SMS fiable pourrait justifier une telle régularité, mais en 1245 av. J. -C., ces signaux gravés ne avaient l'occasion de passer que d’une source qu’il ne comprenait pas. Il leva les yeux prosodie les étoiles encore concrets. L’alignement prédit sur la plaquette de 100g devait se produire ce soir. Pourtant, en faisant référence à ses propres calculs, un tel anniversaire surprise ne devait pas survenir premier plan de multiples décennies. Comment était-ce possible ? L’aube teinta l’horizon d’or, et une alarme s’immisça en lui. Si ces messagers ne venaient pas divin, dès lors d’où venaient-ils ? Il retourna la plaquette de 100g dans ses main, cherchant une signature, une marque laissée par son mystérieux auteur. Ses yeux se posèrent sur un détail qu’il n’avait toujours pas remarqué : une inscription minuscule, à match présent, gravée sur le borne. Une série d'ornements qu’il ne pouvait déchiffrer. Un code venu d’ailleurs.

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